L'école de Muta Mayola chapitre 5
La cave de l'homme des steppes
Devant des sculptures de Mara et des oeuvres graphiques de Sam Szafran
Avec Laurent Périchon, spécialiste des tigres et héritier d'un ensemble de sculptures congolaises
Une toile d'Henriette Lorimier
Comment début 2022, en poursuivant mes recherches en France
sur le sculpteur polynésien Vaiere Mara, mais aussi Henriette Lorimier et les
femmes peintres du début dix-neuvième, après que le peintre Vincent Greby m'ai
fait découvrir un masque congolais en wengé signé Grégoire Massengo, dans une
cave de Bagneux je suis tombé sur un buste signé Muta Mayola. Mayola le plus
important sculpteur congolais du vingtième siècle, dont on pensait toutes les
oeuvres disparues. En même temps que sur un ensemble d'oeuvres de ses élèves et
neveux Grégoire Massengo, Benoit Konongo et Edouard Malonga. Les pères de la
sculpture congolaise moderne, principaux représentants de l'école de Muta
Mayola.
Découverte d'un buste signé Muta Mayola dans une cave de Bagneux
Statue en wengéUn certain nombres d'autres chapitres suivront, dont le fil
rouge sera la découverte de sculptures africaines souvent remisées dans des
caves où des greniers, parfois en salle des ventes.
Au final on conservera seulement l'essentiel de ces épisodes
dans un long film, mais pour l'heure les recherches continuent...
Images Gilles Broussaud et Jean-François Vaca.
Cinquième chapitre du documentaire inédit l'école de Muta
Mayola
Un grand merci à Laurent Périchon
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